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Appelée rosier du Labrador, cette espèce indigène d’Amérique du Nord affectionne les sites humides et rocheux, mais s’adapte aux conditions plus sèches. Ses jolies fleurs parfumées, simples, solitaires d’un rose tendre sont suivies de beaux cynorrhodons bien ronds, rouge vif, dès la fin de l’été.
Grâce à une production vigoureuse de rhizomes, il forme des taillis denses composés de longues tiges peu épineuses. |
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Kordes® propose une Esmeralda toute en finesse et en charme ! Ce rosier hybride de thé donne des fleurs au contour arrondi, roses, qui dégagent un parfum puissant. Le plant très résistant aux maladies est un atout dans tous les jardins. |
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Ce rosier miniature de la série Knock Out offre une floraison rouge abondante et une facilité de culture propres aux cultivars de cette série. Celui-ci dans un format nain, tout à fait adorable. |
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Rosier grimpant dont les fleurs en coupe sont composées de pétales au contour arrondi, blanc crème et pastel, plus foncés au pourtour. Les magnifiques fleurs dégagent un doux parfum. Ce séduisant rosier fut la vedette incontestée de la saison 2021 ! |
La taille du printemps vise à éliminer le bois mort et les branches qui ont souffert du froid hivernal.
Comme les branches nues permettent de bien voir le squelette de l’arbuste, on en profite pour supprimer celles qui sont mal formées, qui poussent vers l’intérieur du plant ou qui nuisent à la croissance de leurs voisines.
• On améliore ainsi la circulation de l’air ce qui réduit les risques de maladies fongiques en été.
C’est aussi le meilleur moment pour rajeunir les arbustes en taillant les branches âgées et dégarnies.
• En éliminant ces vieilles branches le plus près possible du sol, on favorise le développement de jeunes branches plus feuillues et florifères !
Parmi les arbustes qui profitent d’une taille tous les printemps, on compte les rosiers, les spirées japonaises et les hydrangées. Attention de ne pas tailler les Hydrangea macrophylla car elles fleurissent sur le bois de l’année précédente. Ne pas tailler non plus les arbres et arbustes à floraison hâtive afin de profiter de leur belle floraison !
La taille estivale permet de contrôler l’expansion des arbustes qu’on cherche à contenir comme ceux cultivés en haie ou dans les endroits où l’espace est limité :
• buis, forsythias, saules, etc.
Elle permet aussi de stimuler la formation de nouvelles pousses qui se garniront de fleurs dans le cas d’arbustes à floraison remontante comme les spirées japonaises et les potentilles.
• On taille alors légèrement après la première vague de fleurs.
Au début de l’été soit juste après leur floraison, c’est le moment idéal pour tailler lilas, viornes, amélanchiers, aronies, forsythias et autres arbustes à floraison printanière.
• La nouvelle pousse aura amplement le temps de produire des boutons floraux qui donneront une floraison spectaculaire le printemps suivant.
• Aussi, pour éviter de transmettre des maladies d’un arbuste à l’autre, désinfectez vos outils de coupe régulièrement en essuyant la lame avec un chiffon humecté d’alcool à friction.
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• Pour que le sol dégèle plus vite, arrosez copieusement les arbustes encore recouverts de leur protection dès la fin mars.
• Pour éviter les coups de soleil, retirez les protections quand le ciel est couvert, idéalement sur quelques jours.
• Si ce n’est pas possible, allez-y graduellement en ouvrant partiellement le géotextile/jute ou en soulevant de 15-20 cm les cônes en polystyrène, histoire de laisser circuler l’air frais.
C’est donc le meilleur temps pour les changer de place ou les diviser (vivaces), au besoin, car la reprise se fera beaucoup plus facilement.
Certaines plantes vivaces à floraison printanière devraient cependant être transplantées juste après leur floraison, par exemple, les iris barbus et les pivoines.
En avril – chou chinois, chou kale, épinard, laitue, mâche, mesclun, moutarde, navet, oseille, radis
En mai – bette à carde, betterave, carotte, chicorée, chou rave, maïs, panais, pois, pomme de terre (tubercules), soja
En juin – citrouille, concombre, courgette, haricot, rutabaga
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| Les chroniques de cette infolettre sont signées par Louise Lavallée et Claire Bélisle |
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